Le jardin de chez nous (dédie à Raymonde)

Angers,

Une brouette avec des fleurs,
Un cerisier, un saule pleureur,
La table avec ses quatre chaises,
Où l’on s’assoit, le cœur à l’aise.

Le jardin de chez nous,
C’est l’endroit où mes yeux,
Se reposent au mois d’août,
Et s’embrument quand il pleut.
Le jardin de chez nous,
Sent si bon le terroir,
Du vin de cabernet,
Qui est si doux à boire,
Ce n’est pas un secret,
Puis ‘q’on est en Anjou.

Les roses et puis le mimosa,
Marquent tour à tour les saisons,
Ici, le temps n’a pas la loi,
Il passe, comme s’égrène ma chanson.

FIN