Chacun pour soi, Dieu pour tous

Paris,

Refrain : On n’a pas le droit,
De juger qui que ce soit,
On a bien assez à faire,
A s’occuper de nos affaires.
On n’a pas le droit,
De regarder derrière soi,
Allez va ! comm’ je te pousse,
Chacun pour soi, et Dieu pour tous.

1 - Sur la route de la vie,
Chacun avance comme il peut,
Sur la route de la vie,
On ne fait pas ce qu’on veut.
La journée à vingt quatre heures,
La roue tourne sans arrêt,
Chacun y va de sa sueur, Ceci sans le faire exprès.

Refrain : On n’a pas le droit,
De juger qui que ce soit,
On a bien assez à faire,
A s’occuper de nos affaires.
On n’a pas le droit,
De regarder derrière soi,
Allez va ! comm’ je te pousse,
Chacun pour soi, et Dieu pour tous.

2 - Certains gueulent, d’autres prient,
Chacun s’en tient à son rôle,
Le soleil derrière une grille,
N’a jamais été bien drôle.
Même devant un tribunal,
La roue tourne sans arrêts,
Le temps de son pas égal,
En fait lui-même le procès.

Refrain : On n’a pas le droit,
De juger qui que ce soit,
On a bien assez à faire,
A s’occuper de nos affaires.
On n’a pas le droit,
De regarder derrière soi,
Allez va ! comm’ je te pousse,
Chacun pour soi, et Dieu pour tous.

3 - L’amour, le fric, les passions,
De nos jours sont à l’honneur,
Si l’on veut être de bon ton,
Il faut prendr’ des airs casseurs.
Comme toute chose n’a qu’un temps,
Mieux vaut en prendre son parti,
En essayant simplement,
D’éviter les compromis.

Refrain : On n’a pas le droit,
De juger qui que ce soit,
On a bien assez à faire,
A s’occuper de nos affaires.
On n’a pas le droit,
De regarder derrière soi,
Allez va ! comm’ je te pousse,
Chacun pour soi, et Dieu pour tous.
Allez va ! comm’ je te pousse,
Chacun pour soi, et Dieu pour tous.

FIN