Mon piano
Roujan,

Tu es bien plus qu’un copain,
Toi qui depuis toujours, me suis,
Qu’on soit au Nord ou dans l’midi,
On en a fait du chemin,
Tout en bravant la pluie, le vent,
Les jours avec et les jours sans.
Dans ton habit noir et blanc,
T’as l’air d’un élégant dandy,
Et tu m’en vois vraiment ravi,
Le temps paraît en suspend,
Mais à dire vrai, il est là,
Car il déteste l’anonymat.
Tu es bien plus qu’un copain,
Toi qui depuis toujours, me suis,
Parce que tu es un ami,
Qui connais si bien mes mains,
Point d’idées fausses à ce sujet,
Car je vais dire qui tu es.
Do ré mi fa sol la si do
Tu es simplement mon piano,
Que sincèrement je chéri,
Parce que tu es mon ami.
FIN